Bienvenue sur le nouveau site de la médiathèque Croix du Bac, Ici, on «joue», on «rit», on «échange» «livres», «musique», «apéro» et «chips» pour être «heureux» «ensemble». Allez venez nous découvrir !
Catégorie : Les oeuvres
Bienvenue dans notre grenier des créations,
de l’art éphémère crée lors de nos ateliers, par des petites mains
mais aussi des plus grandes, selon le thème du moment et les idées de chacun.
le fil rouge…dans le cadre de « bibliothèques en fête » du réseau de la serpentine…
le thème: vous trouverez dans les bibliothèques du réseau une partie du corps d’un animal. A vous de créer votre propre animal fantastique, un jury désignera et récompensera la meilleure réalisation !
atelier du mardi 16 octobre à la bibliothèque, prochain atelier mardi 23 octobre à partir de 16h30…
les réalisations sont installées dans le couloir de la médiathèque jusque fin novembre…..
et voici quelques textes….( avec les 10 mots à intégrer :harmonieusement, chœur, fil,complices, accueillants, cordée, agapes, réseauteravec, mains. )
Les 3 C, en chœur, complices de cordée eurent une idée en l’air, réseauteravec les 3 A, accueillants avec leurs agapes, en leur mettant un filharmonieusement dans leurs mains. Dom
Avec le bout de sa patte, le chat tire sur le fil. Son complice guette son jeu et tous deux, en chœur, sautent harmonieusement. Une cordée de souris émancipées, investit les lieux. « Nous allons faire de belles agapes » pensent les félins. Mais pourquoi ne pas réseauter ensemble et se tendre la main… ou plutôt…la patte s’interrogent les souris !! Jo
Une main tendue vers les autres
Deux complices pour s’éclater
Trois amateurs pour chanter en chœur
Quatre convives pour faire des agapes
Cinq alpinistes en cordée pour gravir la paroi
Six internautes pour réseauter sur la toile
Sept historiens pour remonter le fil du temps
Huit petites notes de musique jouées harmonieusement
Neuf visages enfantins levés vers nous avec tendresse
Dix petits mots accueillants pour recevoir les amis
Jo
L’espoir d’une grenouille
Une petite grenouille seule, chantait harmonieusement au fil de l’eau.
Elle aurait voulu trouver un ami, un complice, pour chanter en chœur.
Avec un peu de chance, elle le trouvera dans ce nénuphar accueillant.
« chante ! chante ! » petite grenouille, il faut réseauter pour qu’il te tend la main.
En cordée ta tache sera plus aisée.
Quelques agapes vous réconforteront avant qu’enfin vos chants s’unissent sur l’étang.
Et ce n’était pas la première fois qu’on réalisait cet atelier, un article de la voix du nord de 1994 dans le cadre du projet « 1000défis pour ma planète »
Histoire & Recette
Le papier est le support le plus employé en imprimerie
D’origine très ancienne (certains attribuent aux chinois l’invention du papier au deuxième siècle de notre ère), il fut d’abord exclusivement fabriqué à la main avec des matières très diverses (bambous, roseaux, vieux chiffons), et ce, jusqu’au XVIII siècle
En 1799, le Français Nicolas Robert inventa la première machine à fabriquer le papier en continu, au lieu de l’obtenir feuille par feuille.
Quels que soient les constituants de base (chiffons, cellulose, paille, vieux papiers) et le mode de fabrication (industrielle ou manuelle)
l’obtention du papier passe obligatoirement par deux phases distinctes :
préparation de la pâte et formation de la feuille.
Pour obtenir la feuille, la pâte est tout d’abord diluée dans une très forte proportion d’eau.
Puis, à l’aide d’une forme ( deux cadres rectangulaires emboîtés dont l’un constitue les limites de la feuille et l’autre est garni d’une fine toile métallique), il faut prendre une certaine quantité de pâte dans la cuve .
Agitée par un mouvement de va-et-vient, la toile métallique retient les fibres mais laisse s’égoutter une partie de l’eau.
Au bout de quelques instants, ce qui deviendra la feuille de papier a suffisamment de consistance pour que le premier cadre soit retiré et que l’agglomérat pâteux de fibres soit placé sur un feutre, puis recouvert d’un second feutre.
Quand une certaine quantité de feuilles sont ainsi prêtes,
elles sont soumises à la pression énergique d’une presse
puis mises à sécher, une par une, dans un endroit aéré, mais non soumis aux effets du soleil et du gel qui les rendraient cassantes et inutilisables.
Ceci est le canevas de fabrication du papier à la main