Bienvenue sur le nouveau site de la médiathèque Croix du Bac, Ici, on «joue», on «rit», on «échange» «livres», «musique», «apéro» et «chips» pour être «heureux» «ensemble». Allez venez nous découvrir !
Coup de cœur pour « Secrets de Plantes » : une collection qui nous fait plonger dans l’intimité de quatre plantes afin d’en révéler l’extraordinaire…. 4 DVD documentaires de 43mn
L’if, aux frontières de la vie
L’if est un arbre qui flirte avec la mort. Chez lui, tout est toxique ! Pourtant, son étrange façon de croître, sa capacité à se replanter, à se réinventer sans cesse lui offre presque l’immortalité
Mal-aimée, mal connue, l’ortie recèle pourtant bien des vertus : médicinales, culinaires, écologiques… Sous forme d’extrait fermenté, elle enrichit le sol et fortifie les cultures
Auteur et réalisateur : François-Xavier Vives
Le lotus, de la spiritualité à l’hypertechnologie
Symbole intemporel de pureté et d’élévation spirituelle, est aujourd’hui l’emblème d’une révolution technologique.
Auteur et réalisateur : François-Xavier Vives
L’arabette, le meccano génétique
Cette petite herbe folle, ignorée durant des siècles, est devenue en quelques années la plante incontournable de la recherche en génétique
un très beau salon du livre à Nieppe avec MIG (illustrateur) en invité d’honneur… plein de nouveautés dans le cabas….. Martine, Edith
les coups de cœur….et découvertes….
– Tranquille ! de Géraldine Collet et Tious aux éditions frimousse…
Tious était présent, il fait des animations autour des monstres, nous avons pris contact et si tout va bien il sera parmi nous un mercredi de décembre … affaire à suivre …
en attendant vous pouvez découvrir son univers ICI
– la maison d’édition « le stylo à bulle » (25 rue d’arcole Tourcoing)
vous avez deviné … c’est des BD…
et puis pour faire plaisir à quelques-uns et quelques-unes…. Henning Mankell : la faille souterraine (Wallander avant Wallander )
c’était samedi au musée de la vie rurale de Steenwerck
avec le « petit orchestre de chambre folk » composé de Margaux Liénard au violon et William Schotte au violoncelle, Vincent Brusel crée tous les paysages pour des aventures au goût de sel, de forêt, de chemins, de ruelles…
Pour ce récital « les amuseurs d’oiseaux », Vincent Brusel et ses deux acolytes, nous ont invité à découvrir leur musique mise au service d’une plume radicalement poétique, pour un moment rare de voyage et de liberté.
Un p’tit moment hors du temps, ça fait beaucoup de bien…on a beaucoup aimé…
anne marie, edith
Vincent Brusel, chanteur, auteur et compositeur sort son premier album, « Les Amuseurs d’Oiseaux ».
mardi 18 septembre nous avons profité des derniers jours de Laurent à la MDN pour faire le renouvellement des BD….environ 200 nouvelles BD vous attendent dans les bacs…
Cette histoire se passe à Rome sous le règne d’Hadrien. On suit Lucius Modestus, architecte spécialisé dans la construction de thermes, qui se trouve être sur la pente descendante. Ses idées sont jugées trop classiques et il délaisse sa femme. Tout bascule lorsqu’un jour se baignant dans des thermes, il est aspiré sous l’eau et se retrouve projeté dans le Japon moderne. Il découvre alors des procédés et des objets inédits qu’il met en pratique une fois de retour dans son monde antique. Par la suite, à chaque fois qu’il aura besoin d’une idée pour innover, il se retrouvera dans un endroit du Japon correspondant à ses besoins.
on en parle aussi dans le blog de Plélan le Grand….ICI
Biographie Mari Yamazaki
Née en 1967 à Tokyo, elle suit un parcours atypique. Partie pour voyager seule en Allemagne et en France à l’âge de 14 ans, elle va vivre en Italie pour apprendre la peinture à Florence. Après y avoir vécu 11 ans, elle revient dans sa ville d’enfance, Sapporo, et enseigne la langue italienne aux universités de Sapporo et de Hokkaidô. Puis s’étant mariée au petit-fils de son professeur italien d’art, elle a vécu en Italie, au Portugal et aujourd’ hui à Chicago. Auteur d’essais et de mangas fondés sur ses propres expériences, c’est le manga ‘Thermæ Romæ’ qui a fait son renom.
. ‘Thermæ Romæ’ est un best-seller au Japon avec plus 5 millions d’exemplaires vendus. La série a remporté le prix Osamu Tezuka et le grand prix du manga au Japon en 2010.
Mélodie festive, pour fêter le soleil qui n’est toujours pas là…
c’est ma découverte coup de coeur de cette semaine…
Et les deux albums ci-dessus sont disponible à la médiathèque !!
¨Un cocktail détonnant aux vertus euphorisantes à consommer sans aucune modération dont l’abus serait même bénéfique pour la santé. Source » : Ministère de la santé Syldave.
« Les Voleurs de Swing » font main basse sur le jazz manouche
Les Voleurs de Swing, ce sont trois musiciens tourangeaux qui depuis 2005, dynamitent le jazz manouche pour en faire un cocktail explosif. Leur énergie et leur goût de la dérision s’exprime sur leur deuxième album « Anarchie en Syldavie ».
Vous connaissiez le jazz manouche, voici venu le temps du punk manouche. Avec leur énergie débordante, une contrebasse, des violons, des textes dont certains sont en français, nos trois tourangeaux ont réussi à créer leur propre univers. Leur musique pourrait servir de bande musicale à un film du truculent Emir Kusturica! Pour eux tout a vraiment commencé en 2005 lors d’un passage en direct sur France 3. Ils enregistrent et auto-produisent ensuite un premier CD de dix titres où ils incluent leurs compositions. Dans la foulée, ils remportent le tremplin jazz du Petit Faucheux à Tours. Une récompense qui va leur ouvrir les portes des studios professionnels et de la notoriété. Il faut dire qu’avec leur présence scénique et leur énergie, il est difficile de leur résister. Ces voleurs là ne peuvent pas passer inaperçus !Source francetvculture
« Quel pourcentage du public repart d’un concert des Voleurs de Swing avec le sourire ? Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 99,5% selon les organisateurs,un peu moins selon la police mais peu importe ! » lire la suite sur l’igloo
« Tout pour ma poule » d’Elise Rousseau chez delachaux et Niestlé
Comment peut-on vivre sans poule ? Comment se passer d’œufs frais et du spectacle de la vie trépidante d’une poule ? Plus utile qu’un hamster, aussi affectueuse qu’un lapin,
moins dépendante qu’un chien, plus drôle qu’un poisson rouge, la poule peut être un agréable animal de compagnie.
Si vous êtes convaincu d’avoir des poules, ou si vous voulez approfondir vos connaissances sur le sujet, ce livre répondra avec précision et humour à toutes les questions que l’éleveur amateur se pose.
Comment convaincre son conjoint d’avoir des poules ?
Quelle race choisir ?
Comment installer vos nouvelles pensionnaires ?
Comment les choyer, les nourrir, les apprivoiser, vivre au quotidien en leur compagnie ?
Quels sont les 400 coups que votre poule risque de vous faire voir ?
A-t-elle trop froid, trop chaud, pourquoi a-t-elle la crête de travers, la plume en biais, pourquoi refuse-t-elle farouchement de quitter son nid, que faire quand elle s’évade chez le voisin, quand on la laisse un week-end ou pour les vacances ?
Pourquoi une poule n’est-elle pas si bête qu’on le dit ?
Enfin, pourquoi avoir une poule est un acte écolo qui contribue à protéger la biodiversité
Dans Tout pour ma poule, retrouvez les joies et les déboires quotidiens de l’amateur de poules et de ses protégées
et vous pouvez aller voir le blog d’Elise Rousseau et Philippe J.Dubois ‘les biodiversitaires » le blog de la biodiversité sauvage et … domestique ICI
Battulga Dashdor était présent dimanche 20 mai à Rubrouck dans le cadre « une semaine de la Mongolie »
son livre est disponible à la médiathèque…. c’est de toute beauté ! Battulga Dashdor artiste de Mongolie, né le 6 juillet 1974 à Ulan Bator, a étudié l’art traditionnel mongol avec divers professeurs aux méthodes rigoureuses et suivi une formation complémentaire en art religieux. En 1997, il obtient le diplôme de l’Ecole Nationale des beaux arts d’Ulan Bator. Ses compétences reconnues en art bouddhiste l’ont amené à restaurer les piliers et les plafonds des temples de Erdene Zuu et Amar Baygalant. Il est également peintre de Tangkas. Il travaille aussi les métaux précieux et pratique la sculpture. Il vit actuellement en Bretagne (Rennes)
Documentaire co-produit par Arte et La Générale de Production
Vous aviez rêvé d’ubiquité, Internet l’a rendue possible. La mise en réseau planétaire et la vitesse des connections interrogent notre vie quotidienne dans tous ses aspects, économie, information, politique, philosophie. Résisterons-nous au Temps Réel ?
Paul VIRILIO, urbaniste et philosophe, par sa réflexion et ses écrits a démontré que l’Histoire contemporaine est fille de la vitesse. Sa prophétie de l’Accident Intégral produit de l’instantanéité dans le monde global n’est-elle pas en train de s’accomplir dans l’accident systémique de l’économie mondialisée ? La désynchronisation du temps humain et du temps technologique est engagée pour la première fois dans l’histoire de l’humanité. Être ici et là au même instant fait-il de nous des mutants ? De façon inédite, cette histoire fulgurante portée par la pensée de Paul VIRILIO se confronte à la réflexion d’économistes, d’acteurs politiques, de scientifiques et de journalistes internationaux.
Voir aussi:
L’article de Rue89.com : « N’est-il pas temps de ralentir ? »
L’article de Télérama.fr : « Pas forcément rassurant. »
Naviguant entre constats alarmants et propositions réalistes dans les domaines de l’agriculture, du transport et de l’habitat, «Sous les pavés, la TERRE…» incite à la réflexion de chacun d’entre nous et à une profonde re-fondation de nos modes de vie. Ce documentaire retrace le parcours d’artisans inventifs, d’écologistes «décroissants», de paysans syndicalistes, d’anthropologues, de biologistes, d’agronomes … qui ont changé leur rapport à la Terre. Il expose leurs combats modestes mais durables, face aux pesanteurs des administrations, à l’hypocrisie des banques et aux pouvoirs des lobbys, qui privilégient leurs spéculations au détriment de l’avenir des hommes et de la planète … Les actes de ces militants anonymes sont commentés et validés par les interventions d’éclaireurs tels que Dominique Belpomme, José Bové, Pierre Rabhi, Hubert Reeves, Jacques Testart, François Veillerette…
Ce film décrit le parcours d’hommes et de femmes qui à un moment ont changé leur rapport à la Terre. Ils soutiennent et participent à ce documentaire, parce qu’il défend leur raison d’être et d’espérer en une société plus fraternelle, plus juste, plus respectueuse des hommes et de l’environnement. Une société où leurs luttes se conjuguent avec leur capacité à proposer des solutions locales, globales et concrètes aux problèmes de surexploitation et de surproduction.
Ce combat pour une Terre vivable commence par notre maison, nos assiettes, une remise en question de chacun de nos actes : Comment se déplacer ? Comment recycler son eau ? Comment construire une maison passive ? Où sont fabriqués nos vêtements ? D’où provient ce fruit ?
Thomas Pitiot est un chanteur français né en 1975 à Dugny (Seine-Saint-Denis) vivant à Aubervilliers.
En 2002, son premier album qui mêle déjà influences françaises et d’Afrique Noire reçoit un bon accueil
En 2004, il sort un petit disque au tirage limité Le Baron Perché, contre Ernest-Antoine Seillière.
Son deuxième album La Terre à Toto rencontre en 2005 un accueil qui le conduit à deux années de concert avec notamment Loïc Lantoine, Agnès Bihl, Toma Sidibé et Casey.
En 2007, il est parmi les créateurs du Festival Aubercail, le festival des mots dits à Aubervilliers, festival de chansons qui se déroule en mai chaque année.
Son succès va croissant avec son troisième album Griot sorti en 2008
En 2010 : album En public à Aubercail
En 2011 : album La Place de l’autre
Et le petit dernier en 2013 « père & fils »
et si vous voulez en savoir plus sur Thomas Pitiot, c’est ICI
Cinéma…les nouveaux chiens de garde – Réalisé par : Gilles Balbastre, Yannick Kergoat,
Genre : Documentaire – Pays : France – Durée : 1h44
L’histoire
Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes industriels ou financiers intimement liés au pouvoir. Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices et les renvois d’ascenseur.
En 1932, Paul Nizan publiait Les Chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en gardiens de l’ordre établi. Aujourd’hui, les chiens de garde, ce sont ces journalistes, éditorialistes et experts médiatiques devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dresse l’état des lieux d’une presse volontiers oublieuse des valeurs de pluralisme, d’indépendance et d’objectivité qu’elle prétend incarner.
Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d’une information pervertie en marchandise.
et pour continuer, vous pouvez vous informer là : ACRIMED
« Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d’un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l’animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu’elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde. Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C’est à nous d’y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin.
pour en savoir plus sur Clarissa Pinkola Estés ICI
« Bernard Ronot est un paysan céréalier à la retraite. Il nous raconte comment, à l’âge de 20 ans, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, il a commencé à cultiver son blé à l’aide du nitrate : une véritable révolution agricole, une révolution « verte ». Pendant 30 ans, il est resté à « la pointe du progrès », utilisant toujours plus de nitrates, de désherbants, de fongicides, de pesticides et d’insecticides.
À 55 ans, il décide de reconvertir sa ferme et de se libérer des engrais et des produits chimiques pour cultiver son blé. Il nous parle de rotation des cultures, de la vie des sols et nous livre son message pour une agriculture de demain plus respectueuse de l’environnement : une autre agriculture. »
Citoyen de l’univers, j’ai posé mon sac sur cette terre que j’ai choisie pour mienne… Cabiac sur terre… Repaire… refuge… qui ne m’empêche pas d’observer et partager les douleurs du monde.
De me révolter devant le cynisme, le mépris, la désinvolture qu’ont certains à jouer avec le feu et l’avenir.
De m’indigner devant le déni, l’indifférence et les souffrances qu’ils infligent aux humains, hommes, femmes et enfants, à la terre, à l’eau, à l’air et à tous ses habitants, graines, plantes, arbres, insectes, oiseaux, poissons, mammifères…
Ce sont les mêmes qui ont exterminé des peuples entiers, pour faire main basse sur leurs territoires et les richesses des sols et des sous-sols. Leur conscience est glaciale et dicte le bien et le mal au nom de Dieu, de la Loi, de la Vérité et de la Propriété.
Y a-t-il une limite à leur soif de pouvoir et de possession ? Sommes-nous innocents, nous qui allons sagement poser nos petites économies dans le secret de leur coffres en espérant récolter quelques miettes de ce gâteau empoisonné ? Savons-nous que tout au bout, cela produit des armes, des graines atrophiées, des vaches folles, des déchets nucléaires, des enfants affamés et des gens sans travail ? Sommes-nous condamnés à nous écraser devant la ren- tabilité, la compétition, le succès et la vic- toire des vaniteux, des petits chefs, des puissants ou de tout ceux qui voudraient tant l’être ? Sommes-nous obligés de nous taire devant la peur que l’on veut nous coller à l’échine, peur de l’autre, peur de l’errance, de l’inconnu, peur de perdre… perdre quoi ? Ils ont peur de la mort tout autant que nous, et ils la flambent à coups de bombes ou de torchères de pétrole.
Alors qu’il y a la vie ! Alors qu’il y a tant à s’émerveiller, partager, donner, recevoir. Tant de regards, de sourires, de poignées de main généreuses, d’épaules solides, d’instants de bonheur, de caresses douces et de fragilités magnifiques. Tant d’amours, d’espoirs et de rêves bons et fous… Rester debout, vivre autrement, cette vision du monde que je me suis forgée, optimiste envers et contre tout, je la dois en par- tie à quelques rencontres indélébiles. Ma maman, tout d’abord, qui faisait tellement bien la pâte à gaufres… Puis dès le début des années 70, quand j’écrivais mes premières chansons, les pères nourriciers que furent Félix Leclerc, François Béranger et Jean-Pierre Chabrol. C’est la raison de leur présence aussi dans ce nouvel album et ma manière de leur dire merci…
JOFROI
les CD de Jofroi sont disponibles à la médiathèque….
le CD est disponible à la bibliothèque mais concernant Melissmell, il faut vraiment la voir, l’entendre sur scène, elle y est assez phénoménale…. (elle était présente à la fête à Loïc Lantoine à Méricourt)
Bien sur, il y a du Saez, du Cantat et même du Brel en elle…et alors? Elle nous propose du bel ouvrage…, palpitant et terriblement authentique
A voir, et à partager, documentaire très instructif sur la crise actuelle.
Laurent
( En anglais, sous-titré en français)
» Debtocracy (Χρεοκρατία hreokratía) est un film documentaire sorti en 2011 de deux journalistes grecs : Katerina Kitidi et Aris Hatzistefanou. Le film traite principalement de la crise de la dette grecque de 2010. Il prend pour exemple le cas de l’Equateur, et montre comment ce pays a réussi à s’en sortir grâce à un audit de sa dette et en en répudiant une partie.
Les fondateurs du projet Debtocracy soutiennent que la Grèce doit suivre la même voie en commençant par créer une commission d’audit de la dette souveraine1 puis en sortant de l’euro.
Ce film a connu un vif succès en Grèce. Près de 500.000 personnes ont visionné le film une semaine après sa sortie sur internet, plus d’un million quelques semaines plus tard. Il faut également savoir que le projet a été intégralement financé par des donations.
Ce film a été caché par le gouvernement Grec à l’époque et par les médias de masse du pays. »
dans le cadre » Voix au chapitre » de la villa Mont Noir….
Une belle rencontre que cette « lecture dessinée » par Bruno Doucey et Zaü à la médiathèque de Bailleul
D’une voix limpide, d’une main experte Bruno Doucey et Zaü ont fait revivre le temps d’un mirage le sage du désert Théodore Monod, qui se répétant inlassablement « marche et tais-toi »
( devise qu’il aurait été judicieux d’adopter dans les locaux jouxtant la salle du spectacle…)
un excellent moment ….
GG – edith
– l’aventurier du désert de Bruno Doucey chez Harmonia mundi
– Théodore Monod un savant sous les étoiles éditions A dos d’âne
Promenade monomaniaque d’un mystérieux personnage dans l’univers des ronds-points, cette France des rocades, des noeuds autoroutiers, des banlieues périphériques, des ZAC, des ZI, des ZUP… Son voyage, de la Bretagne au Sud de la France, au pays des « logiques de rationalisation », en compagnie d’un représentant en fleurissement urbain, d’un lama tibétain, d’urbanistes, de maires, d’un joueur de vielle, d’un derviche tourneur, d’un sculpteur, d’un anthropologue…, révèle l’absurdité de notre monde « aménagé ». Le film nous invite à une circulation poétique, critique et humoristique de l’urbanisme, de la société de consommation et de l’automobile, bref de la vie moderne. Comme dans une centrifugeuse, les ronds-points nous renvoient chaque fois à une autre destination, vers un ailleurs qui ne cesse de se dérober.
grand coup de cœur pour « Paul dans sa vie » un film de Rémi Mauger (les films d’ici 2005 – 103min)
Paul Bedel aura bientôt 75 ans. Il est vieux garçon, paysan, pêcheur et bedeau. Il vit dans une ferme d’un autre âge avec ses deux soeurs cadettes, célibataires elles aussi. Cette année, ils raccrochent: « ça va faire un vide dans le paysage…. ». Leur territoire, c’est le cap de la Hague. L’air y est vif, les vents imprévisibles, le granit rugueux, l’horizon immense. Ici, Paul a résisté aux sirènes de la modernité, soucieux de préserver et cultiver son lien avec la nature. Au XXI° siècle, il nous l’offre en héritage.
» Vous avez aimé « Yvette bon dieu » ? Alors vous aimerez sûrement « La vie comme elle va ». »
Film documentaire réalisé par Jean-Henri Meunier (2003)
Synopsis : Un chef de gare surréaliste, un poète de la mécanique, un retraité « à la coule », une centenaire à l’humeur chantante, un paysan voyageur, un gyrocoptère qui fait du sur-place, un coq qui passe à la casserole… La Vie comme elle va prend les choses comme elles viennent et les gens comme ils sont. Loin du cynisme de la ville, le film révèle la réalité décalée d’un petit village de la campagne aveyronnaise : un bouquet champêtre d’humanité dont les héros sont reliés par un même désir, celui de vivre à Najac, proches de la nature, et y vivre bien, libres.
» Ici y ‘a de tout, sauf le pognon… »
Ce film, c’est comme voyager dans la peau d’un papillon qui délicatement se pose sur chaque entité humaine que compose le village de Najac, en Aveyron.
Aidé par une réalisation et un montage tout en finesse, ce film, drôle et touchant, nous rappelle indirectement ce qu’on a délaissé et oublié au profit du progrès et de la marchandisation des âmes. On a oublié, sur le bord du chemin, tous ces personnages authentiques, uniques, rempli de vécus, de souvenirs, de générosité, de folie saine, et qui pour la plupart, n’ont pas voulu, n’ont pas pu, suivre le temps épileptique de notre monde moderne.
Eux, ils ont suspendu le temps, comme ils le faisaient avant, comme on devrait le faire maintenant, entourés par la verte nature, la terre d’où l’on vient, le simple plaisir de vivre, conscient qu’il en va de leurs bien être. Cela n’empêche pas, qu’ils souffrent de la solitude, comme tout le monde, la solitude de finir sa vie… seul… d’ailleurs, dans ce film, ce qui m’a été très frappant, c’est cette lourde fatalité qu’ils ont de savoir, pour la plupart, qu’ils finiront …seul…
Comme le poète mécano, qui accepte tant bien que mal sa solitude, et sa femme disparue, se jettant par le travail quotidien et physique dans une multitude de projets déjantés qu’il se dessine et fabrique, malgré pourtant, son âge vieillissant, il ne perd pas la force ni la volonté d’accomplir jusqu’au bout toutes ses idées farfelues, et tout ça, en fin de compte, ça le rend poéte … ouais
L’autre que j’appellerai, le grand bourru, qui drague toutes les femmes qu’il croise sur sa route, du genre un peu lourd, qui râle tout le temps pour rien, qu’on pourrait le prendre pour un emmerdeur, bah nan, je trouve qu’il est totalement humain, il est même très drôle dans ses défauts, et puis il y a sa souffrance, et son désespoir certain que d’être seul, il en va parfois jusqu’a trop boire sa tragédie.
Y en a d’autres aussi, les clowns… tristes… et puis, et puis tout le reste des autres, chacun d’eux… touchant et tellement humain, des laissés-pour-compte, comme si, ce village, et toute la ruralité sûrement aussi, avez été abandonné au fond d’un placard pour laissé la place à un monde moderne et inhumain… Moi, ça me fait pensé à un mec qui parle tout le temps, vous voyez ? celui qui s’impose toujours devant les autres, narcissiquement parlant, pour ne parler de rien, si ce n’est que des choses futiles, le gros lourd quoi, pendant ce temps-là, les gens intéressants se taisent… Pour moi la société de maintenant c’est ça, une sorte de pov’ type qui nous emmerde pas croyable, à nous imposer tout le temps, malgré nous, sa totale ignorance de la vie.
Parce que la vie c’est plutôt ça ; prendre la vie comme elle va, comme elle vient…et les gens comme ils sont, comme ils vont, avec leurs différences, avec leurs poésies.
Ça ne sert à rien de juger, on a pas besoin de tout comprendre pour pouvoir aimer, il suffit juste de regarder et d’apprécier à sa juste valeur, ce qu’il nous tend à nous-même. Et ce qu’on pourrait tendre à être grâce à eux. Qui sommes-nous d’ailleurs ?
il y a d’écrit sur la pochette, une critique de la revue synopsis qui dit : « Un film de santé publique, anti-dépresseur » j’aimerais rajouté, pour aller plus loin, que ce n’est pas le film qui est de santé publique, c’est ce que sont les personnages, dans le film, dans la vie… c’est eux, dans leurs vérités, leurs sincérités, dans le goût d’une vie honnête, simple et sans vanité, qui sont de santé publique. Et que pour un bien, si on veut faire de la santé publique, c’est pas en regardant les autres « être comme ça » à travers un écran ( comme si on regardait fatalement une époque qui n’existe plus ) mais pt’être bien qu’on devrait tous vouloir être comme ça, nos propres anti-dépresseurs… Ensemble !
Alors voilà, ce film est à voir absolument, et moi, là, il me donne envie de dire des mots comme :
Pour moi c’est l’avenir, dommage que pour beaucoup encore, le simple fait de regarder dans le passé c’est déjà de croire que l’on veut revenir en arrière, à une époque préhistorique…ça n’a pas de sens, parce que dans ce cas, ça veux dire qu’on préfère ignorer un pan de notre histoire et de nous même, et que jamais au grand jamais on ne tire profit des erreurs, des échecs ou des réussites, parce que soi disant, c’est passé, c’est fini, c’est ringard ! Ringard toi-même !
Comment peut-on savoir juger honnêtement, ce qui est bon et mauvais pour nous sans ça ?
Moi je dis, cette histoire n’est pas fini…
et apparemment elle n’est pas fini ! Car Najac c’est une trilogie, après la vie comme elle va, Voici « Ici Najac à vous la terre » et » Y’a pire ailleurs » A suivre donc !!
» Le percutant MC Tumi Molekane et ses trois musiciens (dont deux membres du groupe 340ml) ont pris la vague post-apartheid. L’or a fait de Johannesburg une capitale économique ; des groupes comme Tumi and the Volume en feraient volontiers une capitale culturelle. Des mots tranchants et pertinents sur un son coloré et groove à souhait, combo de hip-hop instrumental, rap, soul, jazz et reggae, les Suds-Africains portent en musique la conscience et la parole d’une génération de jeunes motivés et motivants dont les ressources et l’inspiration ont déjà largement franchi les frontières sud-africaines. »
À coups de riddims percutants et sur le fil aiguisé d’une poésie bien sentie, ils prônent la fierté de leurs origines et sont porteurs d’espoir pour la jeunesse locale. La voix de Tumi, chaude et précise, est aussi partageuse, et laisse la place à Keorapetse Kgositsile, poète sud-africain, sur « Johnny Dyani ». Puisant également son inspiration musicale et poétique parmi les acteurs historiques d’une Afrique en paix, le groupe emprunte un parcours musical varié, passant même par la case afrobeat de Fela, palpable sur « Afrique » ou des sons plus funk sur « In a minute ». Par la multiplicité de ses influences, la précision de son rap et la pertinence de ses mots, Tumi and the Volume sort du lot avec ce premier album studio dont les racines plutôt Roots ont grandi nourries du son de Miles Davis. Partager son histoire, porter les doutes et espoirs de tout un pays sont les motivations de cette formation exceptionnelle annonciatrice d’un renouveau musical sur ces terres qui peinent à retrouver leur fertilité. » Fabien Maisonneuve sur Mondomix
Menace sur nos neurones de Marie Grosman et Roger Lenglet chez Actes Sud (questions de société)
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.
Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée.
Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.
il y a déjà un bon moment que S. a donné son autorisation pour faire un lien dans le blog, mais une chose …une autre …et on y pense plus… mais comme ces temps ci c’est plutôt « plat » (on peut même ajouter en général) au niveau coup de coeur, curiosité
pour ceux qui sont en manque… un petit conseil aller voir le blog un lapin dans la bibliothèque…… vous pourrez y passer de bons moments….qu’on se le dise !!
et je résiste pas à mettre un joli lapin de garenne pour illustrer l’article…