Jean l’Anselme, Né le 31 décembre 1919, mort le 30 décembre 2011.
Authentique fils du peuple, puis petit bourgeois comme tout le monde.
DUBUFFET lui apprit à écrire et l’entraîna dans une école buissonnière où il se frotta à l’art pauvre, à l’air maigre, à l’art moche pour finalement trouver des vertus à l’Art Con.
Près de 50 livres, surtout de poésie mais aussi d’aphorismes, principalement chez ROUGERIE.
Quand l’amour se rouille
L’ amour c’est un peu comme un col de chemise,
quand l’amidon s’en va le tissu devient mou,
piteux comme un torchon qu’on sort de la lessive
usé d’être mâché comme un caramel mou.
L’amour a le destin de ce col de chemise,
à quoi sert d’effacer l’effet des détergents,
quand il n’y a plus d’apprêt, ce n’est plus comme avant
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et souvenirs souvenirs…..
Le printemps des poètes 2007 au musée de la vie rurale….
« L’Anselme à tous vents » Café-théâtre et chansons humoristiques autour de l’œuvre de Jean L’ANSELME
Spectacle original créé à partir du recueil « Le ris de veau». Martine Caplanne et le comédien Métélok ont imaginé un échange verbal entre l’auteur et son œuvre. Les réflexions sur la vie en général, la culture et l’écriture sont celles que le poète Jean L’Anselme a formulées dans son livre. Son humour lucide et décapant n’est jamais méchant. Ses calembours cachent toujours un deuxième degré dévoilant, si besoin était, sa très grande culture….
, Martine CAPLANNE compositeur-interprète, chante les poètes, persuadée que la chanson est aujourd’hui le meilleur véhicule de la poésie « qu’elle arrache à son ghetto et rend populaire ».
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